Arnaud, dans le cadre d'une chaine lancée par Falconhill me propose de reprendre mes trois premiers billets politique.
Ceux qui vont suivre ne sont pas tout à fait les premiers, dans la mesure où j'ai trucidé mon premier blog au mois d'août.
Ayant tout balancé à la corbeille et ayant quelque peu la mémoire qui flanche, il me serait difficile d'en donner la teneur exacte.
Je me souviens toutefois avoir égratigné la Madonne Picto-Charentaise sous le titre "Ségolène me brouille l'écoute", célébré le 10 mai 1981 sous le titre "Changeons la vie, ici et maintenant" ou encore écrit un truc sur Benoît HAMON sous le titre "Benoît habet testiculas et bene pendentes.
Et aussi quelques billets acerbes sur le congrès de Reims...
Me voici dans l'obligation de vous infliger les trois premiers de ce blog.
Le premier s'intitulait "pour en finir avec la question des alliances"
La question des alliances agite la blogo en ce moment, sous le prétexte que Villiers et Nihous rejoignent le comité de liaison de la majorité présidentielle.
Sous le prétexte que les pro-Sarkozy se regroupent sous une même bannière, certains au PS nous ressortent le vieux fantasme d'une alliance des anti-Sarkozy, qui irait du PC au Modem. Est-ce bien raisonnable?
Je n'ai rien contre le fait d'une alliance, mais je doute que la simple adition de pourcentages constitue une solution pérenne garantissant au PS et ses alliés de futures victoires.
Allez, soyons fous, révons un peu d'une table ronde autour de laquelle seraient assis, Marie-George, Jean-Luc, Jean-Pierre, Dominique, Martine, Jean-Michel et François...
... Aimons nous Follevile, tout le monde amène ses idées, ses convictions, et en deux temps, trois mouvement, il en ressort un projet politique solide, où tout le monde retrouve ses petits, personne ne perd son âme et permettant des austerlitz électoraux...
La réalité est moins féérique. N'en déplaise à Peillon, il faut également parler de stratégie et pour le moment, Bayrou s'envisage en rempart contre Sarkozy, beaucoup plus qu'en simple supplétif du PS.
Le deuxième, et non le second, puisqu'il y en eut un troisième traitait de la conjuration des égos et disait ceci :
L'université d'été du Parti socialiste débute le 28 aôut. Il reste donc 8 jours aux socialistes de tous courants pour cesser leurs bisbilles stériles.
Certains courants se réuniront avant, et tant mieux, pour peu que cela débouche sur des idées, plutôt que sur des gesticulations et des prises de propositions péremptoires et des ultimatums à la con.
Puissent nos dirigeants, tentés de jouer perso, envisager que le salut ne viendra que d'un jeu collectif. Puissent les Peillon, Montebourg, Rebsanem et consorts comprendre qu'avant les personnes, il y a les idées et qu'avant la question des alliances, il y a la nécessité de construire un projet politique...
Que ces gens se rappellent seulement que François MITTERRAND a été élu en 1981 parce que le Parti Socialiste avait un projet politique, et parce que son leaderchip était naturel et n'émanait pas de combines d'arrière-boutique.
Construisons d'abord un projet crédible, puis enrichissons le avec les idées de nos partenaires, et après nous rejoigne qui voudra, sans ostracisme et sur la volonté commune de réussir.
Il ne s'agit pas de préparer une alternance, en aditionnant des bûchettes, mais de préparer une alternative
Le troisième écorchait l'omniprésident pour une affaire de fosse sceptique
A lire, cet excellent billet chez ELMONE, où l'on apprend que le petit Nicolas, tellement il est obligé de tout faire, c'est lui qui va administrer sa dose d'Eparcyl à la tinette de belle-maman.
[EDIT] ooops, où avais-je la tête ? (c'est à croire qu'ils me niquent aussi des neurones à la radiothérapie)
Bon sang une chaîne c'est fait pour taguer ses petits camarades. Je tague donc Nicolas le neumbeuroine, Elmone, Disparitus, la belle Ellie, et Gwendal
La yourte au chat
Il y a 17 heures
3 commentaires:
Hého, j'ai déjà répondu !
hum, tu es toujours aussi agréable à lire... Y'a pas à dire...
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